Faire cohabiter des ateliers d’expérimentation, un parking, des laboratoires, des bureaux et même des zones non affectées à ce jour implique un volume unitaire, offrant une diversité et une multiplicité d’usages.
Le projet parce qu’il est une infrastructure spatiale offre la possibilité d’un ordre à la fois ouvert, multiple et productif. Cette infrastructure rend possible des expériences efficaces, dans une quasi infinité de possibles. L’exosquelette, grâce à sa trame capable, affirme la stabilité de sa permanence, ouverte à des transformations et des expérimentations constantes.
Dans le volume capable qui est proposé, nous avons transformé la figure urbaine en un bâtiment conçu comme une infrastructure spatiale avec intégration d’un parking silo complémentaire aux laboratoires et bureaux du programme. Un hall d’accueil linéaire (et tridimensionnel) donne accès à l’ensemble des programmes. C’est un lieu de communauté qui rend lisible la profondeur du bâtiment ménageant une fenêtre urbaine qui s’ouvre vers le campus dont l’axe de composition est prolongé par notre mur latéral